Le projet « Histoires Sauvages » est né de la recherche d’un format de diffusion différent pour la littérature. Il tente de sortir des circuits habituels de publication en permettant à l’auteur de garder son autonomie et la propriété de ses créations.
Par opposition à un livre, tiré mécaniquement à un grand nombre d’exemplaires, ce projet propose :
J’ai choisi le terme « sauvages » par opposition aux histoires qui seraient captives des livres. J’ai pour volonté de montrer que les mots ne sont pas faits pour rester cachés, mais qu’ils peuvent, eux aussi, être exposés !
Et, si la lecture d’un livre nous marque souvent profondément, l’impression qu’il nous laisse peut vite s’oublier une fois celui-ci rangé. Selon moi, une histoire affichée permet de garder vivant plus longuement l’émotion ressentie à la lecture et intervient comme un rappel visuel quotidien de la conception du monde que l’histoire porte en elle.
Par ce projet, je cherche donc à montrer que la littérature peut partir à la conquête du nouveau lieu d’exposition que sont les murs — jusqu’ici trop souvent seul territoire des images.
Elles en parlent ! : HISTOIRES SAUVAGES, poésie artistique à la grenobloise.
« Aujourd’hui, on vous emmène à la découverte des histoires poétiques et artistique d’Aude Berlioz, alias Histoires Sauvages. Nous voulions donc partager avec vous notre coup de cœur pour l’univers onirique et délicat de cette artiste grenobloise. »
« Entre la forme courte ressemblant aux haïkus japonais et son logo qui rappelle les cartouches des artistes de l’Extrême-Orient, on voyage dans ses œuvres en rêvant à d’autres horizons.«
« Inventer une autre façon d’écrire, donner une vision originale de la forme courte. Aude Berlioz s’inscrit dans la lignée des Calligrammes d’Apollinaire, des Tropismes de Nathalie Sarraute et des phrases de rue de Petite Poissone, tout en restant libre dans son geste artistique. »